La première séance de travail du Cediv à l’occasion de son convenc’tour couleurs Caraïbes a très vite mis les pieds dans le plat. Sans doute parce qu’il y a été question de changement. Un mot qui fait peur et qui n’incite pas vraiment à l’action. Pourtant avec le Covid 19 il a bien fallu agir. Ou plutôt s’adapter. Tant bien que mal. Certain(e)s n’ont d’ailleurs pas hésité à confesser leur peur, le besoin de se confier à un professionnel de la santé. D’autres ont fait part de leur rage. L’homo touristicus possède une énorme capacité de résilience. Vivre pour ne pas mourir.
Donner du sens à sa vie, oui c’est bien s’inscrire dans l’action. Ensemble pour surmonter les difficultés. Au Cediv on sait faire. Ne rien lâcher. « Cela vaut le coup ». Comme l’explique Laurent Magnin, ex patron d’XL Airways, venu en grand témoin, le métier d’agent de voyages est basé sur quelque chose de fondamental : « l’accessibilité au rêve ».
Charge à chacun de raconter sa propre histoire. Sans aucune indécence. Le Cediv a 20 ans. L’âge de la maturité mais aussi celui de tous possibles.